Bait Mallat massacre

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The Bait Mallat massacre occurred on 11 September 1975, the Christian village of Beit Mallat in Lebanon was attacked, leaving seven people killed while ten were kidnapped.[1][2][3]

Throughout the month of September 1975, battles broke out in the north of Lebanon. On September 10, Al Saaka Palestinian-Syrian forces attacked the village of Bait Mallat killing seven and kidnapping ten of its Christian dwellers. [4]

From a Sep 13, 1975 Le Monde report: [5]

The newspaper Al Hayat affirms, this Friday, that a real massacre took place in the Christian village of Beit-Mellat, where corpses would litter the streets. Difficulties in accessing the region, one of the most deprived in Lebanon, did not allow the security forces to arrive at the scene of the incidents until Thursday evening... we learn from well-informed sources that three Maronite monks had their throats cut in their cell in the convent of Deir Achache, near Zghorta...

See also

Christian Lebanese victims.gif

References

  1. Mordechai Nisan (2004) "The Conscience of Lebanon: A Political Biography of Etienne Sakr (Abu-Arz)." p. 158
  2. Syrian Chronicals 1973-1990 TayyarCanada.org.
    September 11, 1975: The Saaka forces and forces from the Syrian Baath Party attacked the village of Beit Mallat killing seven of its residents and kidnapping 10 others.
  3. Translations on Near East and North Africa (1975). p. 19.
    Because if fear did not haunt the Christians' nights, if it were not kept up and fed by certain massacres at Beit Mellat and Naameh, for example, massacres that the Front of Progressive Forces has certainly not failed to disclaim but whose  calls were left unanswered, since class warfare and the Jihad joined hands to fight together ...
  4. Bassil A. Mardelli (2012) "Middle East Perspectives: From Lebanon (1968–1988)." p. 303

    Throughout the month of September 1975, battles broke out in the north of Lebanon... On September 10, Al Saaka Palestinian-Syrian forces attacked the village of Deir Ashash and killed three priests. All residents had to flee. The next day, they attacked the village of Bait Mallat killing seven and kidnapping ten of its Christian dwellers....

    Al Saaka (or al-Saika, or al-Saeqa) rumored to have been a Syrian Ba'athist tool working against the Lebanese.
  5. Des massacres auraient eu lieu dans le nord du pays, Le Monde, 13 septembre 1975.

    Conformément à la décision prise la veille par le gouvernement de M. Rachid Karamé, l'armée libanaise a pris position, dans la journée du jeudi 11 septembre, dans la zone - tampon entre Tripoli, Zghorta et Dennieh, dans le nord du pays, où, depuis plus d'une semaine, s'affrontent chrétiens et musulmans.

    La mise en place du dispositif de l'armée s'est apparemment déroulée sans incident, hormis un échange de coups de feu à 3 kilomètres au sud de Tripoli.

    La mission confiée à l'armée, ainsi que l'a rappelé le chef du gouvernement libanais, est de " séparer les combattants en cas de renouvellement des combats ". L'armée est toutefois autorisée à riposter à tout tir dirigé contre elle.

    L'intervention des militaires dans le nord du pays, accueillie sans enthousiasme mais sans hostilité, semble-t-il, par la population, soulève les protestations des partis progressistes, qui ont lancé un ordre de grève générale de vingt-quatre heures pour lundi prochain.

    Cette décision a été prise au cours d'une réunion tenue jeudi après-midi à Beyrouth par les diverses organisations et partis progressistes, sous la présidence du leader du parti socialiste progressiste libanais, M. Kamal Joumblatt.

    D'autre part, le gouvernement libanais a adopté jeudi un projet de loi sur l'armée prévoyant, notamment, la constitution d'un conseil de commandement comprenant huit officiers, présidé par le commandant en chef de l'armée. Ce projet de loi, transmis à la Chambre des députés pour approbation, prévoit en outre une révision des prérogatives du commandant en chef et donne pouvoir au conseil des ministres de nommer le chef de l'état-major et l'inspecteur général de l'armée, jusqu'ici désignés directement par le chef de l'État.

    Des combats ont mis aux prises, jeudi soir, les habitants de villages musulmans et chrétiens dans le Akkar, à l'extrême nord du Liban. Selon l'agence Reuter, six personnes au moins ont été tuées et quinze autre blessées au cours de ces affrontements. Le journal Al Hayat affirme, ce vendredi, qu'un véritable massacre a eu lieu dans le village chrétien de Beit-Mellat, où des cadavres joncheraient les rues. Les difficultés d'accès à la région, l'une des plus déshéritées du Liban, n'avaient pas permis jusqu'à jeudi soir aux forces de sécurité d'arriver sur les lieux des incidents...

    D'autre part, on apprend de sources bien informées que trois moines maronites ont été égorgés dans leur cellule du couvent de Deir Achache, près de Zghorta, au cours de la nuit de...